— tw : maladie, mort, sang, morsures.narcissus cornelius lestrange
identité : d'autres parents avaient décidé d'appeler leurs enfants pierre, jean, mathieu ou même célestin, mais toi, on avait décider de t'accorder le privilège de te prénommer narcissus (
narcisse). jusqu'à aujourd'hui, tu n'arrives pas à déterminer si c'était une bénédiction ou une malédiction (ce questionnement pourrait résumer l'histoire de ta vie, d'ailleurs). est-ce que c'est parce que t'es tellement beau que ça en devient envoûtant ou parce que t'es un peu trop imbu de toi-même que ça peut en devenir dangereux ? heureusement que ton père a decidé de te léguer son nom,
cornelius, ça sauve un peu la mise, même si formellement tu ne l'utilise que très rarement. avec ton patronyme,
lestrange, t'aurais le profil parfait pour jouer un rôle dans une pièce de
vaudeville.
âge et naissance : réalistiquement, t'es né
le 14 février 1889 en france, à bordeaux. t'as donc
133 ans, mais en apparence que
35. ce ne serait pas incorrect d'affirmer que t'es un p*tain de
dilf. t'en rigoles, mais en vrai tu vois plus le temps passer, c'est un concept ancien pour toi. tu commences à être à cours de passe-temps.
origines et nationalité : né d'une mère d'origine
martiniquaise aux lointaines origines
zimbabwéennes et d'un père
bordelais, les souvenirs que t'as de tes parents commencent à devenir de plus en plus flous, plus les années passent. ça te donne la frousse. plus te souvenir de ceux qui t'ont donné la vie, c'est perdre peu à peu ton humanité.
impossible que tu laisses ça arriver. tu passas la majeure partie de ta vie en france, mais lorsque la grande guerre éclata, tu partis te réfugier aux états-unis, faisant de toi un
franco-américain.
finances et emploi : $$$$$, t'occupas tellement de métiers différents dans ta longue vie que tu rendrais presque jaloux
johnny sins. ça, c'est aussi sans compter la
fortune immense que possédait autrefois les déchus lestrange (que t'as toujours pas fini de dépenser). au début, musicien, escrimeur, puis journaliste, soldat, homme d'affaires, et même maire, pendant quelques années, afin de finalement atterrir dans la ville de jericho, où t'es
professeur de true crime à nevermore.
statut civil : seul et le temps n'arrange pas les choses, bien au contraire. tous les gens auxquelles tu t'es attaché pendant un certain moment sont
presque tous morts et enterrés. inévitable lorsque l'on est immortel.
bénédiction ou malédiction ? tu t'es donné deux règles que t'essaies le plus de suivre pour minimiser les dégâts émotionnels ; 1. tu gardes un cercle fermé 2. tu ne t'attaches pas.
mais une vie sans amour, c'est une vie sans but, c'est ce que tu disais.
orientation sexuelle : hétérosexuel, le corps des femmes te fait facilement flancher, ce qui te donne le plus grand mal à respecter tes deux règles.
situation familiale : tous ceux que tu chérissais avant ne sont plus, et s'il y a des descendants, t'en as pas la connaissance, étant de l'autre côté de l'atlantique.
à jericho depuis : 33 ans.
particularité : t'es un
vampire, et pour toi, c'est un synonyme de force, puissance et supériorité. t'étais faible lorsque t'étais un simple humain, en proie à de nombreuses maladies. t'as plusieurs failli y rester. maintenant, c'est comme si t'avais eu nouvelle chance à la vie. tu prends soin de ton corps comme si c'était une sculpture en airain, en lui donnant tous les nutriments nécessaires, en le sculptant selon ton idéal à atteindre. le sang d'animal était bon, mais ça valait pas le sang frais d'un Homme. et il était pas possible pour toi de te contrôler h24. dans des rares périodes de creux, de faiblesse, tu craquais. tu savais les conséquences qui pourraient suivre si jamais on t'apercevait en train de sucer le sang de cadavres, mais t'arrêterais pas.
groupe : nevermore.
avatar : regé-jean page (
zimbabwéen & anglais).
The real world is where the monsters are.
1924 | ghost in the machine
t'étais promis à un avenir glorieux avant que la maladie vienne tout gâcher. joueur d'escrime plutôt redoutable et violoniste né, tu recevais les éloges des plus grands. l'opéra de paris commençait même à te faire du charme. ça faisait pas le bonheur de tout le monde, surtout pas des aristocrates conservateurs, mais t'en avais que faire. t'avais travaillé pour en arriver jusqu'ici. puis t'étais parti te battre pour défendre ce pays il y a dix ans déjà, c'en était pas assez pour qu'il te considère comme un des leurs ? tu cultivais de la rage malgré toi. c'est peut-être ça qui rendait tes coups de sabre si puissant. et qui rendait le son de ton violon si précis. tu laissais rien ni personne en travers de ton chemin. enfin, presque rien. lorsque tu contractas une pneumonie d'à peu près, c'est comme si ton monde s'arrêta de tourner. t'étais plus capable de rien faire, aucun moi faire de l'escrime ou du violon (en même temps un peu compliqué quand tu passes ton temps à cracher tes poumons). on voulait plus de toi dans les opéras et dans les orchestres. t'étais plus considéré comme un adversaire qui valait la peine d'être considéré. t'avais été relégué. et le pire, c'est qu'il y avait pas de remède à ton mal-être. tu palissais à vue d'oeil. c'est à peine si t'arrivais encore à tenir de bout. t'aurais vendu ton âme au diable si ça signifiait pouvoir avoir une nouvelle chance à la vie. d'une certaine façon, pour ton cas, c'est presque ce qu'il s'était passé. sauf qu'à ta connaissance, le diable s'habillait pas en chanel d'habitude.
t'aurais jamais pensé que ta copine de l'époque se serait révélé être une chimère, un vampire. quand elle t'offrit la possibilité de te délivrer de ta souffrance en te rendant comme elle, tu ne sus pas vraiment dire non. c'est pas si comme t'avais grand chose à perdre maintenant, vu que t'avais tout perdu. cadeau empoisonné.
1939 | humanoïde
t'avais été sauvé de la mort, mais pourtant t'avais plus l'impression de vivre. tu devenais une menace pour tout ceux qui t'entouraient. tes pulsions bestiales, primaires, tu pouvais les contenir que temporairement. t'avais de nouveaux besoins que tu devais satisfaire pour maintenant ton corps en état. tu redeviendras plus jamais faible comme tu l'as déjà été, tu te le refusais. depuis des années, tu te t'isolais de plus en plus, vivant en marge de la société, sortant que peu de ton appartement, participant de moins en moins à la vie en société. t'étais au courant de ce qu'on disait sur toi, des rumeurs qui circulaient. on savait pas grand chose sur toi et ça foutait la frousse aux gens (c'est comme ça que nait la haine, non ?). le climat socio-politique en europe arrangeait en rien les choses. tu savais que le temps pressait et que tu devais t'en aller au plus vite. t'irais te réfugier aux états-unis. et t'en profiterais pour traquer ton ex.
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(m) best friend - l'un de ses seuls vrais amis, celui sur lequel il peut compter et qui l'accepte malgré sa tendance à croquer des gens
(f) péché mignon - narcisse n'étant pas insensible au charme féminin, il lui arrive de se laisser envoûter et s'accrocher au corps de celle-ci, même si ce n'est que quelques nuits. sa plus grande peur c'est de rester seul.
(m/f) collègues - d'autres professeurs de nevermore avec qui ils s'entendraient plus ou moins bien (on pourra voir ça ensemble si vous voulez)
(m/f) nemesis - quelqu'un qui a le même tempérament/caractère que lui et que narcisse a pas encore réussi à intimider. une compétition saine tout de même entre les deux. ils se l'avoueraient pas, mais ils aiment bien se « détester ».